Centre lauviah
Thérapies douces et arts divinatoires
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Thérapies douces et arts divinatoires

Centre lauviah, ritualisme à Pujaudran

Qu'est ce que le Ritualisme ?

Ateliers des savoirs

PROTECTIONS

Faites entrer la Lumière chez vous

Protéger un lieu est une sorte de bénédiction complexe.

Bénir signifie « le fait de dire du bien » , mais aussi de faire entrer le bien.

En égypte ancienne, le fait de bénir désignait une formule comme celle-ci : « qu'il soit vivant, intact et en bonne santé ! ».

De nos jours, cette formule est traduite, de façon erronée, par vie, force et santé.

Protéger c'est s'unir en totale hamonie avec l'unité divine et la création.

Il y a tellement de beauté dans le Monde, ouvrez-vous à l’amour, et seulement à l'amour en faisant de votre lieu de vie un cocon divin.

Si tout est vivant : les Arbres, les Bois, les Pierres, les Minéraux, les Plantes, le plan terrien reste souvent pour les personnes spirituelles, leur dernière préoccupation.

Pourtant c'est sur ce plan que nous existons, aussi il est important de protéger notre havre de vie pour qu'il reste pur et portégé au plus des énergies négatives et des mauvaises influences extérieures quelles qu'elles soient.

Nous effectuons par un rite paien, une barrière astrale protectrice de votre lieu de vie.

Loin des bénédictions traditionnelles de maisons, nous faisons appel aux éléments, aux anges et à la déesse mère afin qu'elle dresse un bouclier de lumière intransgressible.

Nos incantations purifient l'endroit et commandent aux forces négatives de le quitter.

Ceci reste néanmoins une bénédiction, certains lieux nécessitent un dégagement afin de purifier totalement le lieu d'entités ou de "magies" négatives. Pour plus de renseignement nous contacter.

METHODE DE DEGAGEMENT (exorcisme) UNIQUE AU MONDE

Après une longue évolution spirituelle de plusieurs années et une initiation à la magie défensive et protectrice, à ce jour, nous mettons à disposition nos services d'aide aux dégagements de lieux et de personnes.

Nous travaillons avec des cultes anciens en dehors de tout dogme religieux. Il va de soit que nous évoluons dans une sphère bénéfique et pacifique. Aussi nos travaux sont essentiellement portés sur la délivrance de travaux occultes dont vous seriez victimes. Nous aidons les âmes en errances à quitter un lieu d'habitation afin qu'elles rejoignent la lumière.

Notre but est de vous faire retrouver une sérénité, nous ne faisons pas le mal.

Nous assurons la communication entre notre monde et celui des esprits grâce à l'aide de nos dons médiumniques.

Nous ne faisons aucun appel ou invocation aux morts. C'est bien naturellement que la communication s'effectue entre la mémoire d'un lieu et nous.

En harmonie avec l'au-delà, nous repolarisons les énergies, refermons les brèches astrales causées par des rites (spiritismes, nécromancies, satanistes, magies diverses...).

La puissance de nos rites est là pour dissiper les ondes négatives causées par des médisants et personnes néfastes.

Nos actions bénéfiques peuvent provoquer une amélioration sur le plan de la santé, financier, affectif, et professionnel. Ces plans subissent souvent des attaques et des dégradations en chaine.

L'énergie que nous utilisons est bien souvent la nôtre, et nos actes ne sont pas dénués de tout danger pour notre santé.

Nos armes sont notre mental ainsi que l'utilisation de rites magiques.

Nos travaux de dégagement peuvent se faire sur place ou à distance selon le cas évoqué.

En premier temps les lieux et personnes sont passées au crible avec une analyse détaillée des faits, sur le plan médiumnique.

Puis s'en suit un rituel qui peut avoir une durée minimale de 1 h jusqu'à plusieurs heures suivant la résistance des entités ou des sévices magiques encourus.

Nous construisons ensuite une protection spirituelle afin de palier aux programmations occultes. Les adversaires choisissent souvent de réitérer leurs attaques intempestives aussi nous sommes amenés à créer un bouclier occulte pour vous protéger de tout mal.

La magie est un acte naturel qui peut devenir un outil merveilleux...

Si nul n'est lésé, fais ce que veux ! ...

Nous pratiquons des rituels dit apotropaïques, (Du grec apotropein, détourner : se dit d'un objet, d'une formule, d’un rite servant à détourner le danger, à conjurer le sort, les mauvais esprits, les influences maléfiques. ). Nous travaillons essentiellement dans la protection des lieux et personnes, ainsi que dans la conjuration des sorts, aucun rite contre nature ne sera effectué conformément à notre déontologie.

Qu'est ce que la sorcellerie et pourquoi s'en protéger ?

Voilà un sujet qui nous attire particulièrement par curiosité ou simplement par recherche d’authenticité dans les savoirs ancestraux. Le terme sorcellerie viendrait soit du mot sourcier ou du mot sort, maléfice lancé par un "jeteur de sorts". Par contre avec la traduction allemande de sorcière on obtient "Hexe" dérivée du viel allemand "Hagazussa" (incantation), c'est-à-dire Zaunreiterin femme qui monte un Balai expliquerait l'image traditionnelle de la femme volant sur son balai. En anglais "witchcraft" est directement dérivé du vieil anglais wicca (homme chaman) ou wik (femme chaman). D'autres pensent que la racine commune à Witchcraft, wicca et wik serait Wit, qui désignerait la connaissance et la sagesse en très vieil anglais. La sorcellerie est un acte rituel considéré comme surnaturel qui utilise parfois un savoir ou une religion pour officier et ceci dans un cadre négatif ou bienveillant. Dans la mythologie, les anciennes civilisations utilisaient souvent le savoir d'un sorcier ou sorcière pour acquérir des pouvoirs ou pour réaliser des voeux. Chaque société possède ses propres conceptions en matière de tradition, de croyance, de religion, de rite, de rapport avec l'au-delà, la mort, et les esprits bons ou mauvais ; il est parfois impossible de trouver un équivalent d’une culture à l’autre.
 

Les sorciers furent à une époque les ennemis de la religion, et les praticiens étaient souvent accusés et brûlés, c'est ce qu'on appelait la chasse aux sorcières. Notamment en Europe, à partir du XIIe siècle, l'Église a commencé à encadrer la vieille activité traditionnelle d'accusation (bouc émissaire) de pratiques magiques néfastes. Par contre dans certaines cultures, les chamans (c'est un initié et un conservateur du savoir de ses ancêtres, des pratiques du cultuelle du peuple dont il est issu, il est sorcier, guérisseur et voyant) ou marabout (un mage musulman considéré comme un saint homme) étaient non seulement bien acceptés en tant que praticiens des rituels traditionnels et d'intercesseur avec les forces et les énergies de l'invisible, mais respectés, parfois craints, et souvent placés en position socialement dominante. La sorcellerie était considérée comme la croyance des hérétiques (tels que les Cathares). La notion de sorcellerie prit une grande importance pour les catholiques et les protestants à la fin du Moyen âge. À cette époque la sorcellerie a progressivement été assimilée à une forme de culte du Diable ou à la magie noire. Le sorcier ou la sorcière a une capacité ou un don pour communiquer avec le monde des morts, faire de la voyance et la manipulation des morts pour obtenir ce qu'ils demandent, que l'on appelle aussi nécromancie. Le sorcier a toujours eu dans la tradition populaire une image à connotation négative, démoniaque, hideuse, et effrayante. Des livres fantaisistes ou des films comme Harry Potter, des séries télé comme Charmed, démontrent bien qu'il peut y avoir des notions de bien ou de mal distinctes selon la conscience propre de la personne qui pratique la sorcellerie. La sorcellerie est utilisée pour manipuler ou influencer le destin ou l'esprit d'une personne contre sa propre volonté. Parfois, il est possible de s'attaquer au corps physique et cela peut mettre parfois la vie en péril de certaines personnes en causant : une maladie, la malchance, une mort soudaine, l'impuissance ou maux divers dont l'origine paraît inexplicable. Une des pratiques les plus connues consiste à fabriquer une poupée en argile, en cire ou en chiffons à l'effigie de personnes réelles et les actions qui sont effectuées sur ces poupées sont censées être transférées aux sujets qu'elles représentent ("poupée vaudou"). Certaines pratiques considérées comme subversives ou abusives et parfois criminelles tombent sous le coup de la loi. Il existe une différence entre la sorcellerie et d'autres formes de magie. Faisons un tour d'horizon sur la sorcellerie dans le monde : - En Europe, la croyance néo-païenne suggère que les sorcières étaient simplement des femmes chaman qui ont été progressivement transformées en figures malveillantes par la propagande chrétienne. Le folklore de la sorcière provient de plusieurs sources et diverses influences. Dans les premiers temps du christianisme, la population, habituée à l'usage de la magie dans la vie quotidienne, attendait du clergé une forme supérieure de magie par rapport à l'ancienne magie païenne. Alors que la chrétienté tentait d'effacer les croyances païennes, l'église substitua aux pratiques ancestrales (utilisation d'amulettes et de talismans) le culte des reliques Saintes et du Christ. La vision traditionnelle de la sorcellerie veut généralement que le sorcier, tel Faust signe un pacte avec le diable en lui vendant son âme contre des pouvoirs surnaturels. Donc les sorciers furent accusés de renier Jésus et les saints sacrements, et de se rendre au sabbat (assemblée nocturne pour pratiquer des rites diaboliques). On faisait appel aux sorciers pour des requêtes de guérison et de divination, bien que ces derniers étaient surtout reconnus pour être consultés par les gens désireux de faire maudire leurs ennemis.

En Angleterre, l’exercice de la « magie curative » revenait au guérisseur (witch doctor), aussi connu sous les termes de White Witch (Sorcière Blanche), Cunning Man (le Rusé) ou encore Wise Woman (la Sage Femme). Le terme de « guérisseur » était déjà utilisé en Angleterre avant d’être directement associé au continent africain. D'après le folklore européen, les praticiens sorciers furent généralement supposés empoisonner les puits, les sources, le bétail et la nourriture, ou de la rendre immangeable, voler dans les airs à l’aide d’un balai, jeter des sorts maléfiques et répandre la peur et le chaos dans les communautés locales. - En occident, depuis le milieu du XXe siècle, la sorcellerie s'est développée en intégrant une dimension religieuse néo-païenne. Elle prend ses racines dans les cultes de la nature. On retrouve ainsi un mouvement tel que la Wicca, dont Gérald Gardner est le promoteur. La Wicca est surtout représentée aux États-Unis, au Royaume-Uni et au Canada. Les Wiccans souhaitent simplement que leurs contemporains cessent d’assimiler la sorcellerie à des pratiques maléfiques. Le tout dernier symbole des sorcières est bien sûr Halloween, le 31 octobre, bien que les Wiccans lui préfèrent Samhain, qui a lieu le 1er novembre. Ce n’est pas une coïncidence si les deux fêtes ont souvent tendance a être associées. L'association des sorcières à Halloween pourrait provenir d’une tentative de dénigrement, de la part de l’Église, de cette ancienne fête celtique célébrant la dernière récolte. En Occident, l'avantage des savoirs magiques, en opposition avec la pensée religieuse monothéiste est la richesse des connaissances en botanique et du vivant en général.

- Au Moyen-Orient, on retrouve dans des textes antiques que la sorcellerie a joué un rôle aussi bien dans l’Égypte ancienne qu'en Mésopotamie, comme à Babylone. La sorcellerie dans le Tanakh (Bible hébraïque, Ancien Testament), on peut lire de nombreuses références à la sorcellerie (cf. Deutéronome 18:10–11 « Qu'on ne trouve chez toi personne (…) qui exerce le métier de devin, d'astrologue, d'augure, de magicien, d'enchanteur, personne qui consulte ceux qui évoquent les esprits ou disent la bonne aventure, personne qui interroge les morts. », Exode 22:18, « Tu ne laisseras point vivre la magicienne. »). Chez les judaïques (les juifs) la sorcellerie était perçue comme une forme d'idolâtrie, et donc une offense au Judaïsme et à son Dieu unique. Cependant certains juifs orthodoxes qui étudient la Kabbale, croient en la magie. Depuis longtemps maintenant, la plupart des juifs ont cessé de croire en la Kabbale (livre le Zohar), et considèrent ces pratiques comme ridicules. Chez les musulmans, les contes des mille et une nuits, avec leurs "djinns" (génies), leurs "tapis volant" et leurs îles enchantées, foisonnent de mages et de magiciennes et reflètent l'univers magique de l'orient. Ils reflètent également un monde pré-islamique, les djinns étant sans conteste une réminiscence des esprits des religions polythéistes antérieures. Aujourd'hui, nombre de croyances populaires attribuent un grand pouvoir aux marabouts. Chez les africains, on retrouve un large éventail de religions traditionnelles. Le terme de guérisseur, souvent proposé pour traduire inyanga, a été mal interprété, et est devenu « celui qui soigne en ayant recours à la magie », loin de son sens originel de « celui qui diagnostique et soigne les maux causés par la magie ». Les combinaisons de croyances et pratiques de l’Église catholique romaine et des traditions ouest-africaines ont directement contribué à l’émergence de l'union du religieux que l’on remarque en Amérique latine, avec des pratiques, entre autre, comme le Vaudou, l’Obeah, le Candomblé ou la Santeria. Dans les traditions sud-africaines, il y a trois différents types de personnes qui pratiquent la magie. La thakatha est habituellement traduit comme la « sorcière », et est considéré comme un personnage malveillant qui pratique secrètement afin de nuire à autrui. Le sangoma est un devin, parfois un diseur de bonne aventure, dont les services sont requis pour détecter la maladie, prédire le futur, voire identifier le coupable d’un méfait. Il a également quelques notions de médecine. Enfin, le inyanga est souvent traduit par le terme de guérisseur, il conjure le mauvais sort et fournit à ses clients les gris-gris nécessaires. Dans de nombreux pays, notamment en Afrique, les pratiques de sorcelleries sont punies.

Notre avis sur la sorcellerie

Nous pensons que la sorcellerie a été diabolisée par les religions monothéistes. Elle fait peur au commun des mortels. La plupart des praticiens en occulte ont des dons soit de clairvoyance ou de guérison, parfois les deux. Un don est forcément diabolisé car il n'est pas compris, il n'a pas d'explication palpable. La magie à la base est la maîtrise des énergies naturelles, elle sert soit pour le bien, soit pour le mal. Tout dépend de la demande, de la moralité du praticien et de la conscience du demandeur. La magie devient un acte contre nature s'il va contre la volonté ou le libre arbitre d'une personne. Ce qui est inquiétant, et de voir proliférer dans les journaux, sur le Net et certains magazines, des articles invitants à faire soi-même de la sorcellerie sans en avoir étudié les mécanismes profonds. On retrouve aussi des praticiens qui vendent des actes de sorcellerie malveillants le plus souvent au détriment de votre portefeuille (retour d'affection, envoûtement, malédictions...). Aussi les gens s'adonnent à la facilité pour éliminer un rival, obtenir un poste, manipuler un être contre son gré. De plus en plus de non-initié s'autoproclame apprenti sorcier grâce aux livres vendus dans le commerce. Cela cause des dégâts considérables sur les destinés de certaines personnes, aussi on voit de plus en plus de personnes envoûtées (la pratique de la Magie repose sur la croyance que l’esprit humain est tout-puissant sur le monde qui l’entoure et qu’une pensée déterminée, bien orientée, bien concentrée, peut se concrétiser, influer sur les choses et les êtres.). Sans oublier les praticiens mal intentionnés qui font des actes magiques sur demande de leurs clients. Dans notre centre nous faisons de l'exorcisme, et n'acceptons aucune demande d'envoutement qu'elle qu'elle soit. Nous donnons aussi des ateliers pour apprendre les mécaniques de la magie.  

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